Publié le 1 oct. 2010

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L'essentiel

Cette étude portant sur le transfert de la mélamine de l’aliment vers certaines productions avicoles, notamment dans les œufs et les tissus destinés à la consommation humaine. Les doses testées étaient respectivement de 50et 500 mg de mélamine par kilo d’aliment. L’addition de mélamine n’a eu aucun effet significatif sur la consommation d’aliment et sur la production d'œufs. Cependant, la mélamine est apparue dans les œufs et les tissus dès le premier jour d’exposition. La concentration “moyenne” a été atteinte au bout du troisième jour aux 2 niveaux de contamination. La quantité de mélamine retrouvée dans l’œuf et dans les tissus est pratiquement directement proportionnelle à la quantité ingérée. En revanche il ne semble pas y avoir de phénomène d’accumulation dans les organes et tissus suivis dans cette étude.