Publié le 1 janv. 2009

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L'essentiel

La fertilisation des cultures étant préférentiellement basée sur les besoins en azote des plantes, le phosphore excédentaire s’est accumulé dans les sols cultivés; la sur fertilisation a donné lieu à des transferts de nitrates et phosphates vers les eaux, avec des conséquences environnementales et économiques importantes, comme c’est le cas en Bretagne en particulier. Pour maîtriser ces phénomènes, deux leviers d’action ont été identifiés: réduire les rejets en réduisant les apports par voie alimentaire, transférer les déjections vers des régions ayant des besoins en fertilisants organiques.