Publié le 1 mars 2019

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Les filières avicoles sont ainsi capables de produire davantage de protéines « consommables par l’Homme » qu’elles n’en utilisent.

L'essentiel

Premières sources de protéines animales et grands consommateurs de céréales, les produits avicoles (viande de volaille et œufs) sont directement concernés par la problématique de la concurrence entre alimentation animale et alimentation humaine. En effet, 2 à 4 kg de végétaux sont nécessaires pour produire 1 kg de viande de poulet. Néanmoins, en tenant compte de la nature des protéines végétales consommées (en grande partie issues de coproduits non valorisés en alimentation humaine) afin d’évaluer un nouvel indicateur d’efficience protéique nette, cette étude démontre la capacité des filières avicoles à produire davantage de protéines « consommables par l’Homme » qu’elles n’en consomment. Enfin, l’intérêt des leviers « amélioration des performances » et « choix des matières premières en formulation » pour améliorer l’efficience protéique des systèmes ont pu être appréciés.

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